Street Art The ephemeral rebellion: Le film.

Art de la rébellion issu de la pratique des graffitis, le street art s’invite par effraction dans l’espace urbain. À Paris, New York, Berlin et Moscou, visite guidée en compagnie d’artistes.

Pochoirs, graffs, posters, stickers, installations : le street art se déploie sur les murs, les portes, les trottoirs ou le mobilier urbain. Il fait désormais partie du paysage des métropoles du monde entier. Cet art provocateur force à regarder de plus près un environnement sous domination commerciale, dont il détourne les codes.
Mais les oeuvres sont de plus en plus éphémères, exposées à la destruction par l’autorité publique et à la convoitise des amateurs ou des spéculateurs. Car aussi rebelle soit-il, le street art n’échappe pas tout à fait à la commercialisation et à la starisation. Le pochoiriste parisien Blek le Rat, l’une des figures les plus anciennes et les plus influentes de l’art de la rue, en fait ici la preuve en nous entraînant à New York, où il prépare sa prochaine exposition. La New-Yorkaise Swoon s’est installée quant à elle à Berlin, où travaille aussi Brad Downey, originaire du Kentucky. À l’opposé de la capitale allemande, paradis absolu des artistes de rue, Moscou a une politique particulièrement répressive : la durée de vie de bon nombre d’oeuvres ne dépasse pas une ou deux heures, explique l’artiste Igor P., qui présente la scène street art restreinte mais très active de la métropole russe.

Documentaire réalisé par Anne Bürger et Benjamin Cantu
Durée: 58min

Source: Arte 7

Une version sous titrée Allemand est disponible ici

2 replies on “Street Art The ephemeral rebellion: Le film.”

  1. Un peu décevant ce reportage… J’aurai aimé voir davantage de striiit artists travaillant directement à la bombe, au pinceau, ou autres markers dans rue.

    Et pour ma touche de méchanceté, je dirais : rentre chez toi Swoon, petite opportuniste de m…., continue de toyer les graffs, les flops, les geuts avec tes affiches, c’est ta tête qu’on va toyer si on te croise un jour à faire ce genre d’action à Panane ! lol. Le pire c’est qu’elle dit un moment que le graffiti est super, mais elle n’hésite pas à le toyer !
    Et pour le mec qui vole les oeuvres dans rue : F… YOU !

    Et pour ma touche de gentillesse, je dirais : grand respect à mon frère Blek.

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