La Galerie d’Art présente, du 10 mars au 14 avril, les oeuvres récentes de Guillaume Mathivet.
La démarche de ce jeune peintre plasticien englobe quantité de techniques, d’idées et de courants différents.
Solidement ancré dans le paysage culturel, il interroge l’identité de la peinture et les caractéristiques propres de ce qui s’inscrit déjà dans le “post-graffiti”.
“Mon travail est issu de l’observation des murs, de leur vieillissement par les graffitis et leur effacement programmé. Je pratique donc une peinture de superposition, palimpseste…
Mes codes picturaux sont issus des graffitis. Des écritures embellies s’inscrivant dans des formes géométriques, en partie repeintes par des badigeons […].
Des graffitis apparaissent en partie, des tensions se créent entre le gestuel et le géométrique, des différents contrastes entre les formes et le fond, de la coexistence de couches de peintures, d’encres et de leurs techniques d’effacement